SPINOZA
Philosophie, religion et politique
Avertissement
Ce plan de cours
vaut uniquement pour un cours donné en
classe. Comme ce mode d'enseignement sera
interdit cet automne, c'est le plan du
cours de secours, à distance, qui
vaudra. On le trouve à la suite du plan normal,
ici.
Introduction
On sait l’importance qu’a eue la
réflexion théologico-politique de Spinoza à la fois dans
sa propre philosophie, dans l’histoire de la pensée
politique (notamment dans celle de l’idée de
démocratie), ainsi que dans la conception du rapport de
la religion avec la philosophie d'une part, et la
politique d'autre part. Nous aborderons cette réflexion
dans l'ouvrage principal qu'il lui a consacré, le Traité
théologico-politique, afin de comprendre la nature
du rapport entre la philosophie, la politique et la
religion. Cela permettra de s’initier à la critique de
la religion et de la théologie, avec leurs prétentions à
la vérité, en examinant la valeur que peuvent avoir à ce
sujet les idées de révélation, de prophétie, de miracle,
etc. La lecture de ce livre montrera quelle est la
conception spécifique de la politique de Spinoza,
comment cette conception trouve sa justification dans sa
philosophie, et comment s’y définissent et y trouvent
leur sens les notions fondamentales de la politique,
telles que le droit, la justice, le pouvoir, la
légitimité, le peuple, la raison politique, etc. Il
s’agira de chercher à comprendre comment s'ordonnent
dans le spinozisme les diverses puissances de la
philosophie, de la politique et de la religion.
Objectifs
Connaissances: matière de l’enseignement donné
en classe ainsi que des lectures obligatoires (voir
les sections « contenu » et « lectures
obligatoires »).
Habiletés intellectuelles:
1. Capacité d'analyser
et d'interpréter un texte tiré des œuvres
abordées au cours ou faisant partie des lectures
obligatoires, de le situer dans son contexte
intellectuel, et de réactualiser la problématique.
Ces aptitudes seront exercées et évaluées par des
explications de
textes. Celles-ci sont des exercices
essentiels en philosophie et en études
littéraires. Elles consistent à prendre un texte
comme objet d’explication, en commençant par
repérer en quoi sa compréhension est
problématique, dans son vocabulaire, sa syntaxe,
la structure de ses arguments, le sens des idées
qui y interviennent ou y sont développées, ses
allusions, son style, ses intentions et objectifs,
et en tentant ensuite d’en donner une
interprétation à partir du texte lui-même et de
son contexte textuel.
2. Aptitude à la
réflexion sur la matière enseignée et son
étude. Cette aptitude sera exercée et
évaluée par un rapport
d’étude, dans lequel il s’agira pour
chaque étudiant de s’interroger sur son rapport
à la matière du cours et aux lectures
obligatoires, et de montrer l’évolution de sa
compréhension et de ses idées sur des thèmes
principaux du cours et de ces lectures.
Contenu
Introduction à la philosophie de
Spinoza Introduction à la lecture de deux
ouvrages importants de ce penseur.
La première séance sera consacrée à la
présentation du plan de cours, à l’explication
de la nature des travaux à fournir, à une
prise de contact avec la classe et avec les
attentes des étudiants concernant leur intérêt
pour Spinoza ainsi qu’à quelques
considérations sur la méthode
d’enseignement.Durant les séances
suivantes, d'abord la vie de Spinoza
et le contexte
historique de sa philosophie seront
abordés ; puis la manière d'écrire
et de penser de Spinoza sera
expliquée par la lecture commentée de passages de son
oeuvre, et notamment des lectures
obligatoires. L'accent sera mis sur la
manière dont la pensée de Spinoza s'exprime,
sur les difficultés que son style présente
au lecteur et au commentateur, et sur les
raisons philosophiques de cette méthode.
Enfin des parties du cours seront consacrées
aux questions des étudiants sur leur lecture
des oeuvres obligatoires.
Formule pédagogique
Formule mixte de cours
magistral, de lecture en classe et de
discussions. L’accent sera mis sur la
démonstration de la démarche
philosophique propre de Spinoza et
sur la lecture
précise des textes abordés.
Lectures obligatoires
- Spinoza, Traité
théologico-politique, trad. Appuhn
(Spinoza, Œuvres, vol. 2,
Garnier-Flammarion, Paris, 1965)
- Spinoza, Traité politique
Suggestions de lectures complémentaires
- Spinoza, Éthique
- Gilbert Boss, L'enseignement de Spinoza -
Commentaire du Court Traité, Grand
Midi, Zurich, 2002
On peut trouver divers textes de Spinoza,
ainsi que des renseignements, réflexions,
indications bibliographiques à son sujet sur
le site Spinoza et nous : http://www.spinozaetnous.org/
. On trouvera également une intéressante
édition de l'Éthique en hypertexte sur
le site Hyper Spinoza: http://hyperspinoza.caute.lautre.net/
Mode et critères d'évaluation
Il y a trois
épreuves notées, qui sont les
suivantes :
La première (20 % des points)
consistera en une petite épreuve dirigée
d’explication de texte portant sur
le livre Traité théologico-politique.
Elle aura lieu en classe au retour de la
semaine de lecture, et le corrigé sera
présenté et discuté en classe.
Les deux épreuves principales (40 %
des points chacune) consisteront, pour la
première, en une explication de texte portant
sur un passage tiré des œuvres étudiées, et
dont l'étudiant montrera le sens et
l'intérêt, en l’insérant dans son
contexte ; et pour la seconde en un rapport d’étude
sous la forme d’une réflexion rétrospective.
Ces deux épreuves auront lieu en classe à la
fin du semestre (durant les deux dernières
semaines).
Les critères
d'évaluation dérivent d'abord des
points cités sous la rubrique
« objectifs ». La correction de la
langue, la clarté et la cohérence de
l'argumentation et la pertinence des idées
avancées par rapport au texte analysé sont
des facteurs importants qui influencent
également la note.
En complément des indications données en
classe, il importe de lire attentivement les
explications sur Internet concernant
d’une part l’explication de textes (http://ul.gboss.ca/exptextes.html)
et d’autre part le rapport d’étude (http://ul.gboss.ca/rapetudes.html),
et
de tenir compte notamment de ce qui est dit
de l’importance d’éviter la paraphrase, les
résumés et les présentations générales de
l’auteur et de sa pensée (lorsqu’elles ne
servent pas à expliquer un point précis du
passage étudié), de repérer les difficultés
et les problèmes que le texte pose au
lecteur, d’analyser le texte en lui-même et
en relation à son contexte, en tenant compte
du fait que ce contexte est constitué par le
chapitre, le livre étudié, ainsi que la
philosophie de Spinoza telle que présentée
en classe. Il faut se souvenir aussi que ces
travaux consistent à rédiger des textes
argumentés, composés de manière cohérente,
et non de simples ensembles de remarques.
Pour se faire une idée de la nature de ces
travaux, il est possible de consulter
certaines épreuves notées d’années
précédentes à l’adresse http://ul.gboss.ca/epreuves.html.
Spinoza 2020 en
ligne
Introduction
Le plan du cours normal sur Spinoza
pour l’automne 2020 se trouve ci-dessus.
Ce
cours était prévu pour se donner en classe comme tous
mes cours
normaux. Mais à cause de la décision de l’Université
Laval qui
(sauf rares exceptions) interdit jusqu’à nouvel ordre
l’enseignement en classe, il n’aura pas lieu. Il sera remplacé
par une formule de secours, qui s’y
substituera
administrativement, sans
en être l’équivalent quant à la forme et au
fond.
Depuis
toujours, mon enseignement universitaire est
conçu en fonction du
rapport en classe entre le professeur et les
étudiants, tous
réellement présents. Ce rapport est essentiel
pour diverses
raisons. J’ai présenté
ailleurs ma méthode d’enseignement de la
philosophie (voir La
formation philosophique).
J’y
explique pourquoi je ne conçois pas la
philosophie comme une
discipline théorique, dans laquelle les
savoirs et leur
apprentissage joueraient un rôle essentiel,
parce que je la conçois
davantage comme une discipline pratique,
analogue aux arts, dans
laquelle
il s’agit avant tout de se former soi-même,
grâce à des
exercices permettant de développer certaines
aptitudes qui
requièrent notamment une certaine
sensibilité, comme en premier
lieu la critique. Dans ce genre
d’enseignement, le professeur
propose des modèles qui comportent bien
autre chose que la
transmission de savoirs théoriques et
impliquent non seulement une
habileté intellectuelle, mais également des
dispositions concernant
d’autres aspects de la personne. Pour cela,
le cours ne peut pas
du
tout se
résumer
au contenu objectif ou théorique de ce qui
est dit, mais il
attribue
un rôle important aux tons, aux expressions,
aux gestes, aux rythmes
et mouvements, aux improvisations, aux
réactions ou « réponses »
à la classe, comme c’est le cas dans une
représentation
théâtrale, utilisant
certains
procédés du
genre de la commedia
dell’arte.
Cela implique la présence de tous dans un
même espace
réel et dans l’ambiance qui s’y crée. Or il
va de soi que la
distance provoquée
par
l’intermédiaire de moyens de communication informatiques
rend impossible la participation réelle à un
cours tel que celui
dont je viens de décrire succinctement
quelques aspects. Et
plus
ces outils incorporent des conceptions
pédagogiques, comme
c’est généralement
le cas, plus ils posent
des obstacles à la forme d’enseignement que
je pratique.
Est-ce
à
dire qu’une forme de communication de la
philosophie par les
moyens informatiques soit impossible ?
Loin de soutenir une
telle position, je me suis depuis longtemps
attaché à utiliser les
moyens informatiques pour exprimer la
philosophie, comme dans mes
Jeux
de concepts.
Mais cette
œuvre
n’entre pas dans le genre du cours, et ne
se prête pas, sinon peut-être par
d’ingénieuses adaptations, à
l’enseignement en
classe, sans
compter
qu’elle
ne sert pas du tout à introduire à la pensée
d’auteurs de la
tradition
philosophique.
De plus, l’invention de telles méthodes
requiert une longue
recherche
et
réflexion, qui
dépasse
largement les rapides mesures d’adaptation
prévues dans
l’urgence
actuelle,
et qui à la rigueur peuvent convenir pour la
simple transmission de
connaissances abstraites, mais sont
complètement inadaptées à la
forme d’enseignement donné dans mes cours.
Si
je ne pouvais me rattacher à une longue
tradition d’enseignement à
distance que je
connais
depuis longtemps, je devrais renoncer à vous
proposer un substitut
convenable pour le cours que je ne pourrai
donner. Heureusement,
cette technique et ses méthodes existent et
sont bien connues en
général ; il s’agit de l’écriture et de
l’art d’écrire
et de lire, si importants pour notre
discipline. Apprendre la
philosophie avec un penseur absent, c’est en
effet
possible s’il a écrit dans le but de le
permettre, comme c’est
le cas pour ceux
qui
font l’objet habituel de mon enseignement.
En somme, pour
se
former à leur école,
il suffit de lire ces auteurs philosophes.
Et cela, chacun peut le
faire chez soi, à distance dans l’espace
comme dans le temps. Mais
avouons-le, cet
enseignement
individuel n’a plus du tout la forme
d’un
cours
habituel. Et si une telle lecture suffisait,
on se demanderait
même à quoi pourraient bien servir encore
les cours sur les œuvres des philosophes. Ceux
qui
expérimentent
cette
méthode,
incités ou non par la nécessité d’aborder la
philosophie à
distance des salles de cours, répondront
peut-être que
l’enseignement
qui
s’y donne
ne sert en effet à rien.
S’ils
ont
ou non raison, cela dépend de leur capacité
de lecture. Il a
fallu apprendre à lire et à écrire à
l’école, et cette
aptitude a de nombreux degrés. L’un des
intérêts des cours de
philosophie est de la perfectionner en
ce
qui concerne les textes de philosophie. Et
il arrive certainement
un moment où l’on parvient à progresser
entièrement
par
la
lecture elle-même.
Entre
deux,
il existe dans notre Faculté un type de
cours spécial que je
trouve pertinent et que plusieurs
étudiants apprécient, les cours de lecture
personnelle, dans
lesquels un étudiant (ou parfois plusieurs)
choisit un ouvrage qu’il
aimerait lire plus attentivement, avec la
possibilité d’en
discuter avec le professeur. Voilà une
formule dont il est possible
de s’inspirer pour donner un sens à un cours
à distance. Et c’est
ce
que
je compte faire. Il y a une œuvre à lire, et
le mieux à faire
quand on est seul pour l’aborder, c’est de
se concentrer sur sa
lecture, avec la possibilité d’en discuter.
Or
il
y a un
moyen simple de procéder pour cette
discussion, qui
est de recourir à un forum, perpétuellement
ouvert, où chacun
puisse poser des questions, proposer des
interprétations, faire des
commentaires et entrer ainsi dans un échange
informel avec la classe
absente, en se plaçant décidément sur le
plan de l’écrit. Au
lieu de chercher l’illusion de la présence
par des « classes
virtuelles », il convient mieux à la
lucidité philosophique
de constater l’absence réelle,
en utilisant des moyens qui ne la camouflent
pas.
Ensuite,
pour les épreuves, elles peuvent se faire à
distance de manière
analogue à ce qui a lieu dans les cours en classe,
vu que les deux
types d’épreuves habituels dans mes cours actuels,
explication de
texte et rapport d’étude, sont des écrits.
Objectifs
Les
objectifs restent en général ceux du cours, même si
les moyens de
les viser sont différents :
Connaissances:
matière des lectures obligatoires (voir les sections
« contenu »
et « lectures obligatoires »).
Habiletés
intellectuelles:
-
Capacité
d'analyser et d'interpréter un texte tiré
des œuvres abordées au cours ou faisant partie
des lectures obligatoires, de le situer dans son
contexte intellectuel, et de réactualiser la
problématique. Ces aptitudes seront exercées et
évaluées par des
explications
de textes. Celles-ci sont des
exercices essentiels en philosophie et en études
littéraires. Elles consistent à prendre un texte
comme objet d’explication, en commençant par
repérer en quoi sa compréhension est
problématique, dans son vocabulaire, sa syntaxe,
la structure de ses arguments, le sens des idées
qui y interviennent ou y sont développées, ses
allusions, son style, ses intentions et
objectifs, et en tentant ensuite d’en donner une
interprétation à partir du texte lui-même et de
son contexte textuel.
-
Aptitude à la
réflexion sur la matière enseignée et
son étude. Cette aptitude sera exercée et
évaluée par un rapport d’étude, dans
lequel il s’agira pour chaque étudiant de
s’interroger sur son rapport à la matière du
cours et aux lectures obligatoires, et de
montrer l’évolution de sa compréhension et de
ses idées sur des thèmes principaux du cours et
de ces lectures.
Contenu
Le
contenu du cours se ramènera à la lecture de
l’ouvrage prévu.
Formule pédagogique
Lecture
individuelle et usage d’un forum de discussion.
Lectures obligatoires
- Spinoza, Traité
théologico-politique, trad. Appuhn
(Spinoza, Œuvres, vol. 2,
Garnier-Flammarion, Paris, 1965)
Suggestions de lectures complémentaires
- Spinoza,
Traité politique
- Spinoza, Éthique
- Gilbert Boss, L'enseignement de Spinoza -
Commentaire du Court Traité, Grand
Midi, Zurich, 2002
On peut trouver divers textes de Spinoza,
ainsi que des renseignements, réflexions,
indications bibliographiques à son sujet sur
le site Spinoza et nous : http://www.spinozaetnous.org/
. On trouvera également une intéressante
édition de l'Éthique en hypertexte sur
le site Hyper Spinoza: http://hyperspinoza.caute.lautre.net/
Mode et critères d'évaluation
Quoique
donné à distance, le cours conservera les épreuves
initialement
prévues, avec les adaptations indispensables.
Il
y a trois épreuves notées, qui sont les
suivantes :
La
première (20 % des points) consistera en une
petite épreuve
dirigée
d’explication de texte
portant sur le livre étudié.
Elle aura lieu « en
classe », durant
les
heures de cours,
au retour de la semaine de lecture, et
le corrigé sera présenté et discuté sur
le forum.
Les
deux épreuves principales (40 % des points
chacune)
consisteront, pour la première, en une explication
de texte
portant sur un passage tiré de l’œuvre
étudiée, et dont l'étudiant montrera le sens et
l'intérêt, en
l’insérant dans son contexte ; et pour la
seconde en un
rapport
d’étude
sous la forme d’une réflexion rétrospective. Ces
deux épreuves
auront lieu « en
classe »
à la fin du semestre (durant les deux dernières
semaines).
Les
critères d'évaluation dérivent d'abord des
points cités
sous la rubrique « objectifs ». La
correction de la
langue, la clarté et la cohérence de
l'argumentation et la
pertinence des idées avancées par rapport au texte
analysé sont
des facteurs importants qui influencent également
la note.
Pour
ces épreuves,
il
importe de lire attentivement les explications
sur Internet
concernant d’une
part
l’explication
de textes (http://ul.gboss.ca/exptextes.html)
et d’autre
part le
rapport d’étude (http://ul.gboss.ca/rapetudes.html),
et de tenir compte notamment de ce qui est dit de
l’importance
d’éviter la paraphrase, les
résumés et les présentations générales de l’auteur
et de sa
pensée (lorsqu’elles ne servent pas à expliquer un
point précis
du passage étudié),
de
repérer les difficultés et les problèmes que le
texte pose au
lecteur,
d’analyser le texte en lui-même et en relation à
son contexte,
en tenant compte du fait que ce
contexte
est constitué
par
le
chapitre et
le
livre étudié.
Il faut se souvenir aussi que ces travaux
consistent à rédiger des
textes argumentés,
composés de manière cohérente, et
non de simples ensembles de remarques.
Pour
se faire une idée de la nature de ces travaux, il
est possible de
consulter certaines épreuves notées d’années
précédentes à
l’adresse http://ul.gboss.ca/epreuves.html.
Dates des épreuves et examens
1er écrit, le mercredi 4 octobre, 10h-11h30, petite
explication de textes (matière: Spinoza, Traité
théologico-politique)
Texte donné à expliquer :
Spinoza, Traité théologico-politique, chap. 15, p. 257-258 « Il suit en effet très évidemment … la majesté de la raison ? »
Formulaire d'examen (à enregistrer sur votre ordinateur, puis à rendre complété dans la boîte de MonPortail)
Correction : exemple
2e écrit,
le mercredi 2 décembre, 8h30-11h30, explication de texte
(matière: Spinoza, Traité
théologico-politique
Texte
donné à expliquer :
Spinoza, Traité théologico-politique, chap. 20, p. 328-329 : « Si donc personne ... en réalité la liberté. »
(Examen à rendre dans la boîte de MonPortail.)
3e
écrit, le mercredi 9 décembre, 8h30-11h30, rapport d'études
(matière: Spinoza, Traité
théologico-politique :
Titre :
Évolution de mes idées sur la liberté et l’obéissance à l’occasion du cours sur Spinoza
(Examen à rendre dans la boîte de MonPortail.)
Résultats des premières épreuves
Notes sur MonPortail
Travaux discutés en classe virtuelle le le mercredi 4 novembre à 10h
Pour la correction, voir l'exemple de travail donné
ci-dessus.
Résultats des deuxièmes épreuves
Notes sur MonPortail
Travaux disponibles au secrétariat de
la Faculté à partir du ...
Résultats des troisièmes épreuves
Notes sur MonPortail
Travaux disponibles au secrétariat de la Faculté à
Résultats finaux
Notes sur MonPortail
Assistant
Nicolas Massereau
Atelier
1
Le mercredi 21 octobre, 10h-12h, en classe virtuelle (voir MonPortail)
Spinoza, Traité théologico politique, préface, p. 23-24, « Cherchant donc la cause de ce mal ... comme règle d'interprétation. »
Spinoza, Traité théologico politique, chap. 4, p. 94-96, « Il sera donc préférable de citer ici ... à sa propre conservation. »
2
Le mercredi 4 novembre, 10h-12h, en classe virtuelle (voir MonPortail)
Discussion de la petite explication de texte»
Spinoza, Traité théologico politique, chap. 16